je joue depuis deux, trois ans et n’ait pratiquement rencontré jamais d’énorme gains comme je peux le voir pour certains.
Je me posais la question de savoir ou était localiser ceux qui gagne plus de 300 euros en jouant à des jeux tel que Dead or Alive, moon princess etc.
je réside en France et j’ai beau m’acharner a mettre 100, 200, 300 euros, je n’arrive jamais à obtenir des gains conséquents
j’ai remarqué en trois ans de jeux d’ailleurs que les parties d’avant me donnais à chaque spin un petit quelque chose, (moitié de mise, mise, mise x2) et que depuis un certain temps, un nombre incalculable de spin donne tout simplement rien.
bref, quand je vois que certain déposent 25 euros et retire 350 pendant que je met le quadruple pour zéro gains y a de quoi se poser pas mal de question
est ce que les joueurs d’ici nourrissent les machines ou est ce juste moi qui ne suis pas chanceux le moins du monde
Alex tu n’es pas le seul dans cette situation.
J’ai eu la chance d’avoir une fois un jackpot qui est arrivé comme les cheveux sur la soupe pendant une session de jeu sinon je n’ai jamais réussi à monter au delà de 250 euros avec des spins.
Je pense qu’il y a des chanceux, d’autres moins, qu’il y a certainement la façon de jouer qui peut être en cause, certains joueurs ont plus d’intuition que d’autres pour sélectionner la bonne machine etc…
Je peux t’assurer que j’ai cherché et que je cherche encore pourquoi c’est ainsi et du coup j’ai adhéré il y a déjà longtemps à la thèse d’Orage qu’à l’inscription ou au fil du temps les joueurs sont dirigés vers des serveurs gagnants ou perdants faute d’avoir une explication plus rationnelle.
Je te souhaite d’avoir prochainement un gain substantiel qui te redonne du gnak
Salut Alex sa me arrivé de perdre 1200€ par jour se ne pas le chance.et de fois dépôt 20€-gains 600€
Le patience et ils faut insister sûr le même jeux miser minimum 2€ Wildsultan .Nettent-geme art. Bon chance
ALEX je pense que déposer des 100 et des 100 cela ne sert à rien, perso mes plus belles prises je les ai faites avec un dépot max de 100 euros, la dernière en date: mardi sur 777 bonus de 15 euros retrait de 1000 euros grace notament à un coup à 1 euro qui a rapporté plus de 600 fois sa mise, ne desespère donc pas et ne désespère pas non plus ton portefeuille.
Bonne chance à toi.
PS: il n’y a rien de pire que la routine sur les memes machines essai en de nouvelles et tu verras, je pense que tu sera étonné du résultat
Nous sommes d’accord
Mieux vaut diversifier ses séances de jeux (et pas seulement en changeant de titres / éditeurs, mais aussi en variant les casinos en ligne… sans pour autant s’éparpiller… 2 ou 3 suffisent… mais ça permet de casser la routine et de ne pas donner l’impression au casino qu’il est l’unique heureux élu ^^) pour multiplier ses chances de gagner.
“’est ainsi et du coup j’ai adhéré il y a déjà longtemps à la thèse d’Orage qu’à l’inscription ou au fil du temps les joueurs sont dirigés vers des serveurs gagnants ou perdants faute d’avoir une explication plus rationnelle.”
Je crois de plus en plus à cela également, car quand l’on se trouve en période de “sans gain” quelque soit la machine, la mise, l’heure, le jour, l’on ne peut que se poser ce genre de question. Plusieurs fois je mes suis dit et j’ai dit à mes gentils casinotiers, certes il y a la part de chance mais ce n’est pas possible que je choisisse systématiquement la mauvaise machine, sans parler de jackpot mais pour qu’il y ait au moins un gain me permettant de jouer sans être obligée de redéposer encore et encore.
Effectivement des fois voir souvent on joue on depose on s acharne et rien nada. Que dalle. Sa ne monte pas ou très peu. Ya de quoi se poser des questions surtout sur les taux de redistribution de 95%? Moi je dirais -95% lol humour. Bref j’aimerais avoir plus d association a contacter pour se sortir de la dépendance au jeu.car au final perte de temps d argent (50000) en 8 ans de jeux. Et dette inombrable.
@kooly, il suffit d’une seule association pour t’aider à sortir de cette dépendance.
Mais effectivement, elles ne sont pas nombreuses.
Et la plupart ont une manière très “académique” d’appréhender le problème (enfin, ce n’est que mon humble avis). Je navigue régulièrement sur quelques plateformes spécialisées dans la compulsion, histoire de me tenir au courant des dernières actualités en matière d’addiction aux jeux d’argent. L’apparente sobriété / froideur de certains sites ne donnent pas envie de s’inscrire et de partager son expérience, je trouve.
Rien que dans la façon d’appréhender le joueur dépendant, dès la page d’accueil. Il y a une notion de culpabilité qui me met mal à l’aise. Un joueur addict souffre, parce qu’il a conscience d’impliquer sa famille, inutile d’en rajouter une louche en le faisant culpabiliser davantage. Il a besoin avant tout d’être écouté, pour pouvoir progresser. Pas d’être mis devant le fait accompli, car il y est déjà (le simple fait de se renseigner en est la preuve). Donc inutile de remuer le couteau dans la plaie, je pense. Mais plutôt de comprendre pourquoi, afin d’évoluer.
Ginie
quand je lis ce que tu écris sur les sites liés à l’addiction au jeu, je retrouve ce que l’on trouve avec la dépendance au tabac et ce n’est pas effectivement en jouant avec la corde de la culpabilité que l’on fait avancer les choses.
certains hopitaux ont créés une unité lié à la dépendance aux jeux, j’ai trouvé ce lien http://www.ifac-addictions.fr/annuaire-des-centres-de-soins.html, cela pourra peut être aider.
Merci @pepette3145 pour ce lien !
Effectivement, de + en + de centres hospitaliers se penchent sur le phénomène des addictions. Et certains ont même une unité dédiée aux jeux d’argent. Bon, c’est évidemment moins courant que la dépendance à l’alcool, au tabac ou aux drogues. Mais au niveau régional, ça commence à se généraliser.
Il faut juste avoir le courage d’entrer dans la danse, ce qui n’est pas le plus simple (le fait que ce soit dans une structure médicale peut aussi en rebuter plus d’un).
Par contre, il existe des groupes de paroles, comme les AA ; ce peut aussi être une piste à creuser. Car le joueur compulsif ne se retrouve pas face à un professionnel diplômé (qui n’a souvent qu’une approche théorique / universitaire de la dépendance, car non impliqué personnellement) mais face à des personnes qui vivent ou ont vécu la même chose que lui.